Chez Socrate, un vêtement n’est pas envisagé comme une simple décoration, mais un outil pour communiquer au monde.
Un espace pour dire quelque chose de soi, ou bien se donner la liberté de ne rien expliquer du tout. Mais dans tous les cas, de nous prioriser.
Le vêtement comme allié :
Ce qu’on porte ne change pas qui l’on est, mais ça peut changer ce qu’on vit, et surtout, ce qu’on ressent.
Un vêtement bien pensé commence par là : le corps.
C'est une base à respecter. Il ne s’agit pas de gommer, d’ajuster, d’affiner, mais de construire autour.
De laisser vivre, de permettre le mouvement, le souffle, l’allure... oui oui tout ça, et tout ce que vous voudrez y mettre encore ! Après tout, qui nous en empêche ?
Chez Socrate, on crée des vêtements adaptés à nos vies, qu'elles soient à 1000 à l'heure, ou à la vitesse d'un escargot sous lexomil.
Pour faire alliance avec son corps. Pour y être vraiment bien. Et aux oubliettes les injonction à "corriger", "mettre en valeur", et autres diktats.
Se choisir chaque jour :
S’habiller pour soi, ce n’est pas juste une affaire de goût, c'est aussi une façon de donner le ton de notre journée à venir.
Et parfois, de raviver quelque chose de tout simple : la joie.
Quand on était enfants, on ouvrait le placard avec excitation. On essayait, on superposait, on exagérait. C’était un jeu, une fête.
Personne ne nous disait que c’était “trop”.
Et si on y retournait ?
Chez Socrate, on croit à cette spontanéité retrouvée.
S’affranchir du cadre, un look après l'autre :
Chez Socrate, un vêtement n’est pas un uniforme ni une injonction.
C’est un point de vue : celui que vous choisissez d'endosser, de détourner, celui qui vous aidera à traverser une journée difficile, à danser dans votre cuisine, à prendre la parole avec assurance.
Une pièce naît d’un croquis, d’un tissu trouvé, ou d’un besoin perçu. On ne la crée pas pour une tendance, mais pour un usage.
Des vêtements pour vivre, tout simplement !
Photographies: Simones studio, avec Alima & Élodie